Republication! CAMILO CASTELO BRANCO

Publié le par Rosario Duarte da Costa

 

 

Images: www.geira.pt

 

Bonjour: je trouve étonnant que certains auteurs portugais aient

perdu leur place au sein de l'enseignement au Portugal. Il me

semble important d'aimer la littérature du présent mais, sans

oublier l'oeuvre d'auteurs plus classiques. Comme je l'avais déjà

expliqué en 2010, Camilo Castelo Branco fait partie de ceux qui,

ont peint la société portugaise d'une certaine époque. Le négliger

serait à mon avis très dommage!

Rosario Duarte da Costa

Copyright

18/02/2010

 

 

Octobre2011

Republication!

CAMILO CASTELO BRANCO

 

Lisboa 1825- S.Miguel de Ceide-1890

Voici un écrivain portugais fait partie de ces romantiques purs.

Homme d’action, d’excès, de folies…Être instable résidant entre

plusieurs petits bonheurs éphémères, il nage souvent au sein

d’une mer de tourments et son œuvre traduit cela exactement !

 

 

Très tôt orphelin, Camilo sera élevé par sa sœur dont l’époux est

un médecin mais très tôt il va démontrer son caractère rebelle.

Aventurier, il va être père très tôt. En réalité, ayant fait un enfant

à une jeune demoiselle, il va être forcé au mariage par les parents

de celle-ci !

 

Parti effectuer des études de médecine à Porto, il les quitta aussitôt

et se met au service de la révolution mais, fut maltraité par les

policiers il se désengage ! 

 

C’est ça Camilo.

Alors il fait paraître le livre de « Le Marquis de Torres Vedras »

suivi d’un premier roman : Anathème.

Camilo s’insère tout à fait bien dans cette ville « Porto », située au

nordeste du Portugal. C’est un milieu bourgeois, rempli de

contrastes où se déroule une vie animée au sein de la société.

Nouvelliste, il avait un goût marqué pour les cafés, les salons

Bourgeois, la nuit…et la ville de Porto !

Il faut dire que la ville de Porto située au nord du Portugal

entre le « Douro » et« Minho » est remplie de couleurs, de

contrastes, de coutumes champêtres, mais aussi de nobles

riches, avec ses usages…et encore, d’une bourgeoisie

grandissante qui lui ont fourni tous les angles de la société

de cette époque pour qu’il puisse les retraduire à travers ses

ouvrages : (intrigues, tragédies, caractères multiples,

paysages…) et, ainsi, il a tissé son œuvre.

 

Là, il a trouvé assez de mouvement pour tisser ses œuvres,

sans compter ses propres déboires, ses facettes romantiques.

Donc,le bruit de la ville, le mouvement, les lumières parsemées

de toutes ses ombres, ainsi que sa vie excessive vont tomber sur

le papier avec un langage dansant entre réalités et fictions !

 

Camilo pourtant au fil des ans s’anéanti tant sur l’aspect

psychologique que physique. Rongé par la maladie il s’isole

à Saint-Miguel de Ceide où il continuera son œuvre. Hélas

devenant aveugle il ne put aller au-delà de ses moyens !

 

Il se suicida avec son revolver en 1890 !

Ces annotations proviennent d’une part de ma mémoire vive,

mais aussi de la lecture attentive de toutes ses œuvres.

Certainement aussi, de la lecture de textes provenant d’auteurs

qu’avaient écrit des études sur l’auteur. Au long du temps, j’ai

fait des annotations sur mes livres. Ainsi, cette page a comme

objectif de vous approcher de cet auteur du romantisme

portugais à qui on doit beaucoup, qu’on le veuille ou pas !

 

Rosario Duarte da Costa

Copyright

18/02/2010

 

www.geira.pt

A casa chamada de Camilo foi construída por Pinheiro Alves, em 1830, quando regressou

do Brasil, na posse de avultada fortuna.

A 17 de Março de 1915, um violento incêndio devorou completa e inexplicavelmente a moradia.

Formou-se uma Comissão de Homenagem ao Escritor que adquiriu em 17 de Abril de 1917,

a Ana Rosa Correia e filhos, as ruínas e o quintal contíguo, bem como a livraria restante de Camilo,

 alguns autógrafos, correspondência de amigos e admiradores, mobiliário e objectos diversos.

Na reconstrução, a casa saíria muito adulterada, pois a instalação da escola primária da freguesia

de Ceide no rés-do-chão e os requisitos técnicos a que para esse fim teve de obedecer, como a cubagem

da sala de aula, alteraram-lhe certas características estruturais, em especial o pé direito e as janelas.

Concluídas as obras, a Comissão de Homenagem entregou á edilidade famalicense a casa reedificada,

 ficando esta responsável pelos encargos futuros das instituições ali fundadas:

 a Escola Primária e o Museu Camiliano.



© Casa Museu

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