Dans quelle mer naviguons-nous?!Em que mar navegamos?!
Auteur des photos: Eugénia Silva www.olhares.com
Je ne veux pas être pessimiste. Mais, pas trop crédule non plus!
Dîtes-moi, quel est le jour qui nous apporte des nouvelle rassurantes?!
Tântot on nous dit que la Grèce va mal, sitôt on nous calme avec l'assurance qu'une aide va être débloquée...
Aussitôt les Bourses prennent un peu de chaleur mais, à nouveau les
mauvaises nouvelles arrivent criant: Après la Grèce c'est l'Espagne ou
le Portugal qui faudra soigner!
Mon Dieu!!!
Que font alors le économistes internationaux, et qu'est ce qu'ils font
les grands Directeurs des Banques Internationals et Nationales Européennes?!
Déjà la Grèce va payer le prix fort de son état malade!
Après, seront le Portugal, l'Espagne, voir l'Italie...
Puis, la France et/ou le reste des pays de la communauté!
Alors, je me pose des questions diverses, comme par exemple: Pourquoi
on est arrivé là?!
Et que fait l'Europe depuis sa naissance, si celle-ci ne fut même pas
capable de mettre en garde les pays sur les systèmes économiques et
ses éventuelles défaillances?!
On nous demande "la solidarité" avec les grecs". Oui, sauf que nous
ignorons aussi le prix que nous irons payer, au Portugal, en Espagne, en France....
Croyez-vous que cette situation sera stabilisée avant l'été?!
Allons, il nous faudra beaucoup de courage et de force pour avancer
dans cette mer de turbulences!
Rosario Duarte da Costa
Copyright
04/05/2010
De LaVanguardia.es:
Así que ya tenemos en el mismo día y a la misma ahora a España como gran protagonista de los dos medios digitales más leídos en los EEUU, con una noticia
con dos titulares devastadores “Spain Risks Falling into Same Trap as Greece” (España corre el
riesgo de caer en la misma trampa que Grecia) y “Rising Debt, Few Cutbacks -Will Spain Go The Way of Greece?” (Deuda al alza, pocos recortes
¿Seguirá España el camino de Grecia)
El artículo del NYT no explica nada que no sepamos pero no por eso deja de ser contundente…. dificultades para consolidad a las cajas debido a intereses
políticos, falta de reformas importantes o promesas de recortes de déficit público anunciadas pero no llevadas a la práctica, el principal partido de la oposición perdido en combate
o en casos de corrupción, el lío de las autonomías, con varias elecciones en 2010 que pueden seguir paralizando la toma de decisiones drásticas y todo amenizado con una tasa de paro
que a los norteamericanos les debe parecer simplemente marciana o más bien propia de algún país africano.
En fin después vendrán los especuladores y serán la Gran Escusa…. pero francamente es que nos estamos pintando una diana en el culo y gritando
DISPARARME...
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