Mas, que sociedade é esta?!

Publié le par Rosario Duarte da Costa

 

Mas, que sociedade é esta?!

 

Mas, que sociedade é esta?!

Acabo por não comprender o mundo em que se vive.

Não posso desacreditar os meios de desenvolvimento da televisão,

do cinema, o meio internético que deram muita coisa de bom a

milhões de pessoas.

Mas, também devo dizer que isso permitiu desenvolver esta

sociedade da violência, porque os malandros evolúem com as novas téchnicas, para nos despojarem, ultrajarem e, até matarem (como já

se viu nalguns casos)!

Não sei se notaram mas, passou-se da imagem “do ser” para o “parecer” e, toda a gente se tenta formatar seja qual fôr o continente

onde vive.

Triste imagem que damos, não é verdade?!

Mas, que sociedade é esta?!

Rosario Duarte da Costa

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09/10/2012

 

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Le Point.fr - Publié le 08/10/2012 à 17:47 - Modifié le 08/10/2012 à 20:13

L'élève de première a été poignardée par un camarade de seconde. La piste d'un différend amoureux est évoquée.

Photo d'illustration. © AFP

Photo d'illustration. © AFP

Une adolescente était entre la vie et la mort lundi soir en Côte-d'Or après avoir été agressée au couteau par un camarade au sein même de son lycée, nouvel épisode d'une série de violences scolaires. Le drame s'est déroulé à l'heure du déjeuner dans ce lycée de Chevigny-Saint-Sauveur, près de Dijon. Vers 13 heures, un élève de seconde a poignardé dans un couloir cette élève de première, la blessant de deux coups de couteau à l'abdomen, avant de s'enfuir. Sur place en fin de journée, le recteur de l'académie de Dijon, Cyril Nourissat, a fait état devant la presse de "difficultés d'ordre personnel entre les deux lycéens", alors que la piste d'un différend amoureux était évoquée. L'adolescente était toujours au bloc opératoire lundi soir au CHU de Dijon, "avec un pronostic vital toujours engagé", a précisé la gendarmerie.

L'agresseur est "un élève qui venait d'arriver en seconde" et qui "ne s'était pas particulièrement fait remarquer" jusque-là, dans ce lycée de près de 700 élèves entouré de bassins avec des nénuphars, qu'il a qualifié de "paisible". Après l'agression, l'adolescent "est reparti en courant, l'arme à la main", a précisé le colonel Christian Janus, commandant du groupement de gendarmerie de Côte-d'Or. Il a ensuite été repéré "vers 15 heures, à quatre kilomètres du lycée", menaçant de se suicider à l'approche des gendarmes. "Il a parlé de se trancher la gorge et de sauter", a raconté le colonel Janus, évoquant des négociations de près d'une heure. "Un des gendarmes a profité d'un moment d'inattention pour le maîtriser", a-t-il ajouté. Le gendarme a été blessé à la jambe par le couteau du jeune homme. Ce dernier a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Dijon.

Pas de droit de retrait des professeurs

Au lycée Jean-Marc Boivin, après l'agression, les cours "se sont déroulés normalement" lundi après-midi, malgré la mise en place d'une cellule psychologique, a précisé le recteur, les professeurs n'ayant pas fait valoir leur droit de retrait. Selon les élèves interrogés, la jeune victime, interne, était en section sports-études, faisant du bicross (BMX), comme son agresseur. "Les cours seront assurés normalement demain. Les enseignants n'ont pas fait jouer leur droit de retrait", a confirmé le SE-Unsa (2e syndicat du secondaire).

Disant se tenir "informé heure par heure de l'évolution de la situation", Vincent Peillon, ministre de l'Éducation nationale, a fait "part de sa profonde émotion après l'agression inqualifiable" de lundi, assurant "la famille et la communauté éducative de sa solidarité et de son soutien les plus absolus".

Depuis la rentrée de septembre, les agressions se sont succédé en milieu scolaire, d'un professeur de sport giflé par un élève près de Poitiers à une surveillante frappée à Marseille par un grand frère venu demander des explications. Mais sans atteindre la violence d'un coup de couteau comme le 16 février 2012, quand un lycéen de 18 ans avait été poignardé dans le dos par un élève de sa classe, au lycée Schweisguth de Sélestat, dans le Bas-Rhin. "Les phénomènes de violence se multiplient ces derniers temps, mais ce qui s'est passé en Côte-d'Or est atypique", a analysé Christian Chevalier, secrétaire général du SE-Unsa, confirmant que l'établissement était connu pour son calme. Le procureur de la République à Dijon Éric Lallement doit donner une conférence de presse mardi à 16 h 30.

Publié dans Dialogues

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