Economia/Finanças/Euro: Consumo....Dîtes ce que vous voulez…A Viabilidade do Mundo!

Publié le par Rosario Duarte da Costa

 

Dîtes ce que vous voulez…

La viabilité du Monde/ A Viabiliade do mundo

 

Dîtes ce que vous voulez…Ne me croyez pas si vous n’avez

pas envie... Pensez que la vie est belle, aisée et, remplie de

beaucoup de bonnes choses.

Dites que vous voulez continuer ainsi, et même aller au-delà

de tout ce que vous avez aujourd’hui…

Par exemple posséder plus de voitures, de maisons, voyager,

acheter beaucoup de robots pour vous éviter d’avoir du travail

à la maison.

Ouvrir des comptes en Banque à votre guise, avoir votre

portefeuille remplit de cartes de crédit et encore, choisir de

muter de meubles à toutes les saisons.

 

Je me suis rendue compte que nous sommes de plus en plus

victimes de nos propres désirs… Nous vivons dans des tiroirs

enchevêtrés les uns sur les autres, consumons n’importe quoi

et n’importe comment, fabriquons des tas d’ordures du haut

en bas de nous immeubles, jetons des produits achetés à la

dernière saison et, il n’y a aucune limite !

Il y en a des gens qui jettent même leurs ordures par les

fenêtres, leurs enfants les regardent et, nous savons qu’ils iront

faire plus tard la même chose, tandis que les arbres se meurent

dans les jardins de nos villes avec la pollution que nous

provoquons!

Le soir nous entrons à la maison, fermant nos portes à double

clé, nous ne savons pas ce qui se passe dans le palier et nous ne

voulons même pas le savoir, nous mangeons vite télé allumée,

les oreilles polluées par la zizanie médiatique et, nous voilà

subissant l’air de notre temps, pollué par la télé, les bruits, le chauffage ou les ventilateurs, nous voilà heureux de posséder

chaque fois un peu plus !

 

Dîtes tout cela… Mais, la crise est arrivée ici, et ailleurs aussi.

Nous ne l’attendions pas, on veut nous empêcher de consommer,

de partir en vacances ou d’obtenir un crédit et, nous perdons le

nord car, on nous a habitués à décider tous seuls!

 

Alors, je réfléchis depuis bien longtemps, d’ailleurs j’en ai

souvent parlé dans mon Blog : de la mondialisation mal faîte,

de la course des états et des entreprises pour le pouvoir et pour

gagner de l’argent; par exemple de notre santé, des enjeux du commerce international, du respect de l’homme pour lui-même.

Mais, ce que je dis n’est pas écouté. Je ne suis personne. Je n’ai

aucun grand poste particulier, je ne suis mandatée par aucun

parti politique !

Par exemple,  je ne cesse de dire que cette crise européenne d’aujourd’hui est systémique et que pour l’enrayer il n’y a que

deux solutions : changer l’homme ou, changer le système !

De même je constate que les gouvernements n’arrêtent pas de

faire des prévisions, alors que je dis qu’il faudra faire de la prospective. Ceci pour vous dire, que l’on nous prend pour des moins que rien, et ils ont quand même raison dans le sens, où

nous avions toujours suivi ce qu’ils ont décidé !

Alors, nous sommes dans une grave situation et, je crains qu’elle

ne s’amplifie pour notre malheur !

Cependant, je viens de prendre connaissance d’un livre qui vient

de sortir en France :

« Pour un Monde Viable »

de Michel et Laurent Griffon aux éditions Odile Jacob.

 

Et, j’ai eu des premières impressions alors qu’il vient de sortir :

• Constat de notre monde aujourd’hui

• Les crises : économique financière et monétaire

• L’économie illicite…

• Et enfin, des propositions pour un monde viable.

Je le lirai à tête reposée mais, déjà je crois, j’ai trouvé un appui,

à tout ce que je pense depuis longtemps !

Rosario Duarte da Costa

Copyright

     02/09/2011

 

www.correiodamanha.pt

 

  Problemas da Zona Euro vão piorar, não melhorar

 

www.dn.pt

Bombeiros despedidos e a vender ambulâncias

 

www.jornaldosnegocios.pt

 

Jerónimo Sousa apela à "presença e voz" dos jovens na luta contra austeridade

26 août 2011

O secretário-geral do PCP afirmou hoje que as novas gerações estão confrontadas com o dever de lutar por um país "que sangra" com medidas de austeridade, desafiando-as a darem "presença e voz" à manifestação convocada para Outubro.
Na intervenção de abertura da 35ª edição da Festa do Avante!, o líder comunista Jerónimo de Sousa salientou que "os direitos sociais no capitalismo nunca são perenes", nem "dádivas e muito menos legados doutras gerações", mas "ganham-se e perdem-se" e "conquistam-se e defendem-se pela luta dos próprios em cada época".

“Às novas gerações está colocada a questão de saber se aceitam uma política que lhes nega o futuro ou se se assumem com força transformadora, lado a lado com outras gerações, como obreiros das suas vidas e da sua felicidade", afirmou, em tom de desafio, o secretário-geral do PCP.

No mesmo contexto, e dirigindo-se "especialmente àqueles que nasceram pouco tempo antes ou depois de Abril", Jerónimo sublinhou que "a luta não é delegável", criticando duramente as medidas mais recentes apresentadas pelo Governo de coligação.

"Os exemplos do chamado programa de emergência social ou do passe social + põem de forma mais crua a ideologia do Governo em que se procura substituir o Estado com obrigações sociais pelo Estado assistencialista", afirmou, numa intervenção que foi antecedida pelos foguetes de abertura da festa da quinta da Atalaia.

"Primeiro criam a pobreza e aumentam o número de pobres, depois a partir do estado de pobreza avançam com medidas parcelares, recuperação do conceito da 'sopa do Sidónio', do medicamento fora de prazo que sendo para pobre não interessa a consequência, mesmo nas cantinas de refeição para pobres dispensa-se a fiscalização da ASAE", continuou.

“À imensa maioria de milhões de portugueses que estão a ver o seu país a sangrar em vida, atingidos e sufocados por mais cortes, mais sacrifícios, menos direitos no trabalho, menos salário, menos reforma, menos saúde, menos educação", o comunista apelou à participação na manifestação convocada pela CGTP para 1 de Outubro.

"A presença e voz das novas gerações será força de exemplo e garantia de que a luta continua", assinalou, referindo que o PCP tem "grandes responsabilidades" a assumir e precisa de estar "mais influente e preparado para todos os combates que aí estão e se avizinham".

O líder do PCP reiterou que os comunistas rejeitam "o programa de agressão imposto pela 'troika'" e que este precisa de ser "derrotado".

 

 

www.lemonde.fr

Y-a-t-il un pilote dans le « système monde » ?

Pour Michel et Florent Griffon, dans Pour un monde viable, changement global et viabilité planétaire, « le système monde tend vers des périls et il n’y a pas de pilote ».

Après L’Homme viable. Du développement au développement durable (Odile Jacob, 2010), Michel Griffon – agronome et économiste, conseiller scientifique à l'Agence nationale de la recherche (ANR)-, et son fils Florent Griffon – économiste du développement durable et analyste chez Dexia Asset Management - réitèrent leur appel à la constitution d’un « homo viabilis ».

Ce barbarisme latin, inventé pour remplacer l’obsolète « homo economicus », désigne l’homme idéal de demain, capable de faire face à la mondialisation et à la complexification des phénomènes climatiques, économiques, démographiques… en inventant un « chemin pour un avenir viable et vivable ».

Selon eux, il ne s’agit plus seulement d’imaginer un modèle de développement durable, mais de s’inquiéter de la viabilité de notre monde.

Pour comprendre qui est cet « homo viabilis », les deux auteurs développent longuement le concept de « changement global » qui met en lumière l’imbrication de tous les changements de la planète et des sociétés. La représentation de ce « grand tout » passe par le découpage du « système global » en dix huit processus, qui constituent dix huit chapitres, expliqués en détail et remis en perspective dans le contexte mondial par le détail de leurs causes et conséquences.

DES SOLUTIONS

La seconde partie du livre s’attache enfin à proposer des solutions qui doivent, tous comme les changements, être envisagées de façon globale, en mesurant les implications de chaque décision dans les autres domaines.

Ils remettent ainsi en cause le système de démocratie représentative à l’occidentale pour proposer une démocratie centrée sur la délibération et le débat, avancent l’idée d’une fiscalité innovante, d’un nouveau système éducatif ou encore d’encadrer le système financier international. Autant de propositions qui exigent l’existence d’une volonté politique forte et mondialisée.

Ce livre invite à la réflexion en fournissant des connaissances claires et précises dans des domaines aussi variés que la biologie, l’économie, l’histoire ou la géographie, qui prennent sens dans leurs croisements et leurs mises en perspective.

En revanche, si cet ouvrage ne se veut « pourtant pas alarmiste », la longue liste des problèmes insurmontables et autres aberrations causés par notre mode de fonctionnement (un milliard de personnes sous-alimentées, 15% de la population totale vit dans des bidonvilles, la généralisation du mode de vie américain requerrait cinq planètes…) risque de faire basculer le plus optimiste des lecteurs dans un sombre cynisme.

La postface du philosophe Alain Cugno nous éloigne heureusement du fatalisme en nous invitant à « créer du nouveau comme si […] nous étions dans un monde neuf ».

Marion Lefebvre



  

 

Publié dans Dialogues

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