Décision du tribunal Portugais sur le livre de Monsieur Gonçalo Amaral!
Voilà!
La décision du Tribunal portugais sur le livre de Monsieur Gonçalo
Amaral "A verdade da Mentira", vient de tomber!
Selon www.sapo.pt, le Tribunal maintiendrait sa décision d'interdire
la vente du livre de celui-ci.
Par ailleurs, le Tribunal maintiendrait sa décision d'auparavant,
Monsieur Amaral serait contraint de verser les sommes reçues de la vente de son livre aux parents de la petite fille!
Aujourd'hui, je suis rassurée de savoir que le Tribunal portugais garde
son indépendance, malgré les pressions qu'il subit.
Je vous inviterait à lire à la fin de cette page, mes dires en relation à
cette affaire le 12 Février.
Ne connaissant pas les parents de Maddie, pas plus que Monsieur Amaral je n'ai aucun interêt à défendre l'un ou l'autre.
Pourtant, en tant qure femme, maman et grande maman, je m'élève
avec la tournure que cette affaire à prise, sachant que ce qu'il nous
interresse est de savoir ce que Maddia est devenue!
C'est pour cela et, avec l'objectif d'éviter une scandaleuse affaire comme celle des parents du petit Grégory, que je me permets de vous dévoiler ma pensée!
J'ai une pensée pour les habitants de Olhão qui ont subi cette affaire.
Je leur souhaite d'ouvrir leurs oreilles et de rester vigilants. Je leur souhaite de la paix et que leur futur soit composé de bonheur!
Bien à vous:
Rosario Duarte da Costa
Copyright
18/02/2010
Tribunal mantém proibição do livro de Gonçalo Amaral
Hoje
A juíza da 7.ª Vara do Tribunal Cível de Lisboa decidiu hoje manter a proibição do livro "Maddie - A Verdade da Mentira", do ex-inspector da Polícia Judiciária (PJ) Gonçalo Amaral.
Na leitura da sentença, realizada hoje no Palácio da Justiça, a juíza Gabriela Cunha Rodrigues tornou definitiva a providência cautelar de retirada do livro, que tinha sido decretada em 09 de Setembro de 2009.
No livro, Gonçalo Amaral defende a tese de envolvimento de Kate e Gerry McCann no desaparecimento da filha, em maio de 2007, num apartamento turístico da Praia da Luz, no Algarve.
Os advogados de Gonçalo Amaral e das também visadas Guerra & Paz, editora do livro, TVI, que exibiu documentário baseado no livro, e Valentim de Carvalho, que comercializou o vídeo, comunicaram que vão recorrer da sentença.
"Monsieur Amaral, ex-inspecteur de la police judiciaire se pose
comme l’ange gardien de la petite fille. Ses parents étant-bien sûr- les démons !
Il prend les personnes par l’aspect « irrationnel » : ses défenseurs sont la « défense d’un portugais contre les anglais ». L’inspecteur leur a touché le cœur ; on revient à Don Sebastião disparu en Afrique, dont tous les portugais attendent le retour dès qu’il y a un problème !
On est plus dans l’objectivité et , le subjectif induit que les parents de la petite fille sont bien des coupables : jeunes, riches, cultivés, qui veulent tromper l’inspecteur !
Dramatique ! Cela me dérange. Cela me gêne car, si depuis le début de l’événement les parents étaient jugés « à priori » coupables, jamais ils ne seraient sortis du Portugal ou bien les anglais les auraient épinglés !
On parle de « pressions politiques ». Mais, depuis quand le politique a une emprise sur le juridique ?! D’ailleurs, si cela était le cas, pourquoi l’ex-inspecteur de la P.J. portugaise n’a pas porté cette affaire devant les Tribunaux compétents (portugais et/ou européens) très rapidement?!
Je me questionne encore pourquoi Monsieur Amaral s’est laissé mettre à la porte par ses supérieurs sans intenter une action contre eux…
Cette affaire devenant surréaliste, je me demande si le tribunal portugais va satisfaire un homme qui ayant perdu déjà une bataille et, a peur de perdre la guerre !
Si cela m’était arrivée, moi qui ne suis pas anglaise mais qui réside à l’étranger, aurait eu le même problème car, dans ce pays les mentalités de certains sont encore restées au Moyen-Âge. Et, je me serais battue ( en France, au Portugal, en Europe et dans le monde), par tous les moyens pour me défendre !
On parle de l’argent qui coule à flots grâce à Maddie. Mais, si les parents ont des gens qui les soutiennent, tant mieux. Les recherches sont toujours onéreuses, surtout à l’étranger !
Et l’argent récolté par Monsieur Amaral où ira-t-il ? Dans la bourse des MacCann ou dans sa poche ?!
Au titre de ma pensée personnelle, je m’adresse à ceux qui doivent veiller à la droiture des institutions et des populations portugaises, c’est à dire aux Juges, dans les tribunaux : depuis le 25 Avril 1974, les portugais sont libres dans le cadre qui leur est imparti par les lois inscrites au sein de la Constitution de la République. Mais, la justice doit être au service du citoyen. Elle doit rendre sa décision avec impartialité. Qu’il s’agisse de portugais ou bien, d’étrangers.
Sinon, celui qui fait et défait les nœuds des décisions judiciaires pourrait s’appeler comment ?! Antirépublicain?!
Monsieur Amaral fut un Inspecteur de la P .J. portugaise. A lui
Seul, il ne représente pas tout le corps de la Police Judiciaire portugaise…Et, j’ose croire qu’il n’a pas 100% de ses collègues
derrière lui ! "