France, Allemagne, Grèce, Italie et Portugal) Nouvelles!

Publié le par Rosario Duarte da Costa

 

Fin Mai 2011! (Nouvelles de l’Europe de sud)

France, Allemagne, Grèce, Italie et Portugal)

 

Ainsi s’achève le mois de Mai, un des plus chauds du siècle!

Carlos Tavares d’origine portugaise vient de prendre les rennes

de Renault,  après tous les scandales d’il y a quelques mois, avec

cette Entreprise. Il faut dire que celui-ci a une expérience très large

du Management dans le Groupe et, peut-être pourra-t-il le

ré crédibiliser.

 

Aujourd’hui à Tours (France), une voiture de gendarmes vient

de blesser 14 enfants scolarisés qui rentraient d’une classe sportive,

et tué une petite fille de huit ans. On ne connaît pas la cause de

l’accident. Certainement, les gendarmes qui retournaient du G8,

n’ont pas fait exprès et, d’après les premières infos, le conducteur

n’était pas sous l’emprise de l’alcool !

 

La France souffre de manque d’eau. D’où la sécheresse et, le gouvernement cherche des solutions pour aider les agriculteurs.

Il faut dire que, à un an des élections Présidentielles le

Gouvernement n’a pas intérêt à augmenter les impôts !

 

Tandis que le Portugal prépare les élections législatives du 5 Juin

prochain et que, la droite portugaise se plie en tous sens pour

quémander des votes (comme par exemple le PSD qui appelle

les socialistes à voter pour lui), Paulo Portas, président du

CDS-PP dit vouloir que le parlement devra travailler toute

l’année !

 

Tandis qu’après la jeunesse espagnole la Grèce crie haut et fort

contre les privatisations et l’augmentation de tous les produits

de base, en Italie, on vient d’apprendre que Berlusconi  a perdu

dans son camp. Milan passe à gauche, de manière très aisée !

Ce qui voudra dire que le Cavalieri, n’a plus l’aisance qu’avant !

 

Au moment où l’Allemagne fait savoir qu’elle donnera un coup

d’arrêt à la construction de nouvelles centrales nucléaires, et

qu’elle fera de l’électricité à partir du charbon,  le Pays subit un

problème de santé lié à la consommation de concombres. On ignore

si, les légumes venus d’Espagne sont contaminés par des bactéries

dans le pays de production, ou bien s’il s’agit d’un problème lié au

transport ou autre ! Ceci a fait que, vendredi je n’ai pas acheté ce

produit. Alors, les responsables espagnols crient contre

l’accusation qui atteint ses producteurs, tandis que l’Europe attend

les résultats des analyses sur cette bactérie, dont les allemands ne

connaissent toujours pas la souche ! !

 

La Ministre Française Christine Lagarde se trouve au Brésil. Et

ceci, pour se présenter en tant que candidate au poste au sein du

FMI. Je ne sais pas mais, maintenant que l’on parle du pétrole

Angolais, j’ai l’impression que la France va faire apprendre à parler

le portugais !

 

Voici, un doigt de nouvelles depuis Lyon. 

Rosario Duarte da Costa

Copyright

29/05/2011

www.lemonde.fr

Monde 31/05/2011 à 00h00
La gauche prend Milan, forteresse de Berlusconi

Le Cavaliere a subi hier, à l’occasion du second tour des élections municipales partielles italiennes, son plus lourd revers depuis 1994.

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Par ERIC JOZSEF Envoyé spécial à Milan

Giuliano Pisapia salue la foule après sa victoire aux municipales à Milan, le 30 mai 2011.

Giuliano Pisapia salue la foule après sa victoire aux municipales à Milan, le 30 mai 2011. (© AFP Olivier Morin)

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«Milan est libéré» lance, ému, l’avocat et nouveau maire Giuliano Pisapia. «De la place Tahrir à celle du Dôme de Milan, c’est en ligne droite», s’enthousiasme l’une de ses collaboratrices. Après vingt ans de domination absolue de la droite italienne, la capitale économique de la péninsule, considérée comme une forteresse imprenable, est tombée. Avec à peine 45% des voix, la maire sortante, Letizia Moratti, a été sèchement battue par le candidat proche de Refondation communiste, mais soutenu par toute la gauche et une partie de l’électorat modéré.

 

Surprise.«C’est la victoire d’un honnête homme dans un pays qui a souffert de la perte de crédibilité de la politique», résume le sénateur démocrate de Milan Luigi Vimercati, qui reconnaît : «Nous nous étions habitués à la défaite, c’est une formidable surprise.» Une surprise tellement éclatante que Silvio Berlusconi, en visite officielle en Roumanie, a préféré assurer, plusieurs heures après la fermeture des bureaux de vote, qu’il n’était «pas au courant des résultats».

Dix-sept ans après son entrée en politique, le Cavaliere a subi hier, à l’occasion de ces élections municipales partielles, sa plus lourde défaite politique. A Naples, son candidat, pourtant donné largement favori avant le premier tour, n’a pas réussi à s’emparer de la mairie. Pis, avec 34,6% des suffrages et malgré la présence de Silvio Berlusconi à ses côtés vendredi, il obtient un score inférieur de deux points à son résultat d’il y a quinze jours. L’ancien juge Luigi De Magistris (Libération des 28 et 29 mai) conquiert la cité avec près de 65% des votes. La gauche l’emporte aussi à Trieste, Novara ou à Cagliari.

Mais à Milan, ville natale du Cavaliere où il a fait carrière dans le bâtiment, le football et la télévision, le revers est encore plus cinglant. D’autant que le président du Conseil avait radicalisé son discours en stigmatisant les Roms et les musulmans à quelques jours du scrutin lombard pour tenter d’éviter la défaite. Dès hier, Pier Luigi Bersani, le chef du Parti démocrate, a réclamé «la démission du gouvernement». «J’exclus de la manière la plus catégorique une crise de gouvernement, même si nous devions perdre à Milan et à Naples», avait par avance indiqué, en fin de semaine dernière, le patron de la droite. Numériquement, celui-ci dispose encore d’une majorité au Parlement et peut espérer tenir jusqu’à la fin de la législature, en 2013. Après la défection, en décembre, de Gianfranco Fini, le président de la Chambre des députés qui a traité le chef du gouvernement d’«autocrate», ce dernier a réussi à débaucher des parlementaires au centre et à gauche pour sauver de quelques voix sa tête.

Reste qu’au sein de la Ligue du Nord, certaines voix commencent à plaider pour une redéfinition de l’alliance avec le Cavaliere. Pour l’heure, les troupes d’Umberto Bossi ont accepté de constituer une majorité avec le Parti du peuple de la liberté (PDL) en échange d’une réforme de l’Etat dans un sens plus fédéral. Mais les militants supportent de plus en plus difficilement les attaques de Silvio Berlusconi contre les juges, l’absence de reprise économique ou encore ses comportements personnels. Après avoir été entraînés dans l’échec aux municipales, une partie des léguistes prônent l’abandon de la coalition et le retour dans l’opposition comme en 1996, lorsque la formation autonomiste, esseulée, avait toutefois dépassé les 10% des suffrages. Selon la presse italienne, les dirigeants de la Ligue auraient, au cours des derniers jours, lancé un ultimatum à Silvio Berlusconi : «Désigne ton successeur ou bien nous irons seuls aux urnes.»

Hier, le ministre (Ligue du Nord) de l’Intérieur, Roberto Maroni, l’a reconnu : «C’est une vraie gifle.» Mais il a toutefois cherché à calmer le jeu : «Cela ne veut pas dire qu’un changement d’équipe est nécessaire, mais il faut relancer l’action du gouvernement. Sinon, nous enregistrerons une défaite encore plus forte aux législatives de 2013.» D’autant que le patronat aussi s’impatiente. Las d’attendre en vain les réformes promises, nombre d’entrepreneurs et d’électeurs modérés ont commencé à tourner le dos au Cavaliere. Le courant ne passe plus entre la patronne des patrons, Emma Marcegaglia, qui, sans attaquer directement le président du Conseil, a encore lancé, jeudi : «Il faut agir tout de suite. En termes de compétitivité et de croissance, nous avons perdu une décennie.» Au cours de laquelle Berlusconi a gouverné huit ans. «C’est simple, soit le Cavalierechange tout, soit ils se chargeront tous de changer le Cavaliere», admettait hier matin Giuliano Ferrara, directeur du quotidien Il Foglio et ancien porte-parole de Silvio Berlusconi.

Claque. Pour sortir de la nasse et faire face aux divisions qui éclatent dans son propre parti, Berlusconi étudierait la possibilité de refonder dans l’urgence le PDL, ou annoncer l’organisation de primaires. Mais hier, pour nombre de citoyens milanais rassemblés devant le Dôme de Milan pour fêter la victoire, la claque électorale infligée hier au président du Conseil, âgé de 74 ans, avait un parfum d’extrême onction politique. D’autant que si la ville lui échappe politiquement, il devra malgré tout revenir bientôt dans la capitale lombarde. Il est en effet attendu par les juges de la cité pour répondre de plusieurs affaires. La deuxième audience du procès Ruby doit s’ouvrir ce matin. 

 

www.liberation.fr

Terre 31/05/2011 à 00h00
L’affaire du concombre braque L’Espagne

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Les résultats des analyses menées sur les concombres espagnols soupçonnés d’être contaminés par une bactérie qui a déjà fait quatorze morts en Allemagne ne seront pas connus avant demain, assure le ministère espagnol de l’Agriculture. Le conseil régional de l’Andalousie, d’où

 

Publié dans Dialogues

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